Gouverner, c'est agir.

Edition 2017.

maison jean vilar

Il est ainsi des formules qui s'imposent comme des évidences.
L'identification du gouvernement à la geste politique n'est pas nouvelle.
Et la production, actuelle, apparemment intarissable, de biographies, autobiographies, et autres biopics tendrait à prouver que l'hagiographie n'est pas un genre en extinction.

Même à l'heure du bavardage incessant des commentateurs de l'instantanéité sur twitter ou facebook.
Nul n'y échappe, responsables politiques, chefs d'entreprise, artistes, sportifs...
Faudrait-il en déduire que la gouvernance ne s'apprécierait qu'à l'aune de l'action, se réduirait à une pratique qui ne serait que "toute d'exécution" ?
Des expressions devenues communes comme "l'heure du bilan" ou le "droit d'inventaire" pourraient l'accréditer.

Ce serait faire bon marché des convictions, des principes, de l'analyse, des circonstances, des contraintes, de ces faits que l'on dit têtus, de l'inertie des systèmes...
D'où la question : où situer l'acte de gouvernement ou de gouvernance ?
Quelque part entre déterminisme et détermination ? Alors parlons-en.

 

Téléchargez les documents de l'édition 2017